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LE CARTOPHILION
2 juillet 2024

Tour de France 1914 (2e partie), Ballon d’Alsace & Belfort

Après une première partie consacrée à la présentation du Tour de France 1914 et à sa première étape, voici la 2e partie de cette 12e édition, avec le déroulement de la 12e étape entre Genève et Belfort, le 20 juillet, avec un premier passage par le Ballon d’Alsace, en ayant emprunté le versant vosgien.

Annonce 12e étape (Journal L’Auto, doc. Gallica BNF)

 

Les coureurs du Tour durent de nouveau gravir le Ballon d’Alsace lors de la 13e étape, le 22 juillet, mais par le versant terrifortain.

 

Dans cette 2e partie, aussi, la journée de repos passée à Belfort.

 

M’appuyant sur l’expérience acquise, cet article étant chargé et ne pouvant pas avoir recours au pot belge, je l'ai scindé en trois

 

   - la présentation de la 12e édition avec la 1ère étape
   - la 12e étape Genève-Belfort et la journée de repos
   - la 13e étape Belfort-Longwy, l’arrivée à Paris et les résultats finaux

 

NA : En fin de texte des liens permettent d'accéder à la 1ère et 3e partie de l'article, et au Sommaire recensant l'ensemble des articles sur le Tour de France.

 

Deuxième partie de l'article

 

12e étape Genève-Belfort par le Ballon d’Alsace, le 20 juillet

 

Pour cette 12e étape de 335 kilomètres, du lundi 21 juillet 1913, entre Genève et Belfort, les coureurs durent affronter le col de la Faucille (28e km) et la nouveauté, le Ballon d'Alsace (303e km), en ayant effectué un détour pour revenir par le nord comme en 1913, avant de redescendre sur la Cité du Lion.

Annonce étape vers Belfort (Journal L’Auto, doc. Gallica, BNF)

 

Le classement général

 

Au départ de cette 12e étape, il ne restait plus que 37 coureurs d'équipe et 18 isolés (ou indépendants)

 

Le leader du classement général était le belge Philippe Thys (148h 22mn 32s) devant

 

  2e : Henri Pélissier à 34mn 27s
  3e : Jean Alavoine à 1h 4mn 28s
  4e : Jean Rossius à 1h 20mn 11s
  5e : Gustave Garrigou (B) à 2 h 57 mn 39 s

 

Gustave Garrigou avait remporté l’étape Grenoble-Genève, devançant au sprint, Henri Pélissier et Philippe Thys; le 2e de l’étape avait passé en tête le col du Galibier.

Image Gustave Garrigou (coll. privée)

 

Le départ de Genève

 

Pour ce départ, la ville de Genève fut en ébullition une bonne partie de la nuit, car de 1 heure à 3 heures, se déroulèrent les opérations de contrôle, au café de la Couronne, supervisées par le correspondant local de L'Auto, Max Burgi. Les coureurs se rendirent au lieu de départ prévu, devant la brasserie Montbrillant, située dans la rue du même nom.

Carte postale Genève Hôtel Brasserie Montbrillant (coll. privée)

 

Le départ fut donné à 3h30 par Robert Desmarets aux 55 rescapés pouvant encore prétendre à remporter cette édition, quel écrémage !

 

Lors de ce départ, Henri Desgranges, le directeur de la course, prit une autre direction car devant se rendre à Lyon, pour participer aux travaux du jury de la grande Exposition Internationale, organisée en cette ville.

Henri Desgranges (photo Wikipédia)

 

Les coureurs partirent affronter le Col de la Faucille (28e km), Henri Pélissier et Jean Alavoine passèrent ensemble le sommet avec 58s sur les trois autres premiers du classement général.

 

À Morez (54e km), malgré l'heure matinal, la foule fut présente au passage des mêmes coureurs hormis Gustave Garrigou qui passa à 30s dans un groupe de 6 coureurs, composé de Louis Engel, Léon Scieur (B), Marcel Baumler, Maurice Brocco et Firmin Lambot (B). Le groupe suivant étant déjà repoussé à 8 minutes.

Carte postale Morez Souvenir (coll. privée)

 

Au passage à La Chaux-Neuve (80e km), dix coureurs passèrent ensembles, le deuxième groupe avait rattrapé le premier.

 

L’horloge de l’église de Pontarlier (115e km) affichait 8 heures, quand, sous le soleil et les applaudissements, un groupe qui s’était étoffé avec Eugène Christophe, Emest Paul, Gaston Degy, Paul Duboc, Louis Heusghem (B), Henri Devroye (B), … devança de 15 minutes, le groupe suivant. Intercalés, Donald Kirkham (Aust) et Adrien Alpini (I) possédaient 5 minutes de retard.

 

Avant d’arriver à Morteau (144e km), un peloton de 40 unités s’était formé, avec un peu de retard sur l’horaire prévu, pour traverser la ville noire de monde venue pour féliciter et encourager les forçats de la route.

Carte postale Morteau Place Carnot (coll. privée)

 

Au passage de Pont-de-Roide (198 km), le peloton avait maigri un peu, mais toujours avec les leaders du classement général en son sein.

 

À 11h41, arrivèrent les premiers coureurs emmenés par le peugeotiste François Faber dans les rues de la Cité des Princes (217e km), où était prévu un contrôle. Comme toujours, Montbéliard était envahie par la foule des grands jours surtout pour acclamer les coureurs de la marque Peugeot…

 

Ceux-ci avec Philippe Thys, Henri Pélissier, Jean Alavoine, Jean Rossius, Gustave Garrigou, Émile Georget, Eugène Christophe, Louis Heusgheim… étaient bien au rendez-vous.

Carte postale Souvenir de Montbéliard (coll. privée)

 

Au passage à Lure (252e km), il était 13 heures sonnantes, quand le public vit Philippe Thys mener la danse d’un groupe encore bien pourvu, dont les leaders et ceux qui avaient des projets pour la fin de l’étape…

Carte postale Lure Grande Rue (coll. privée)

 

Arrivé au Thillot (287e km), où un contrôle était prévu, un groupe d’une trentaine d’unités, 33 pour être précis, formé de Maurice Brocco, Jean Alavoine, Henri Pélissier, Philippe Thys, Constant Ménager, Émile Georget, René Vandenberghe (B), Henri Devroye (B), Jean Rossius, Jean Coomans (B), Paul Duboc, Vincezo Borgarello (I), Jules Nempon, Adrien Alpini (I), Charles Charron, Emest Paul, Donald Kirkham, Eugène Christophe, Firmin Lambot (B), Marcel Baumler, Charles Cruchon, Louis Trousselier, François Faber… avait envie d’en découdre dans la 2e difficulté de cette journée, avec la montée du sommet vosgien, malgré un soleil de plomb.

 

À l'assaut du Ballon d'Alsace

 

Plus de 3 000 personnes avaient pris possession des pentes pour voir et supporter les coureurs dans cette montée qui faisait tant mal aux jambes des routiers.

 

À 14h45, un peu en retard sur l’horaire estimé, le pied du Ballon d’Alsace fut atteint par ce groupe où plusieurs coureurs changèrent de développement pour attaquer la montée.

 

Carte postale Ballon d'Alsace Le sommet (coll. privée)

 

Le premier qui passa le col fut Jean Alavoine devant Henri Pélissier, inscrivant son nom sur la tablette virtuelle du sommet, en ayant parcouru les 9 kilomètres en 34 minutes, 3 minutes de plus que Marcel Buysse l’année précédente.

Ballon d’Alsace  (photo journal La Vie au Grand Air doc. Gallica, BNF)

 

Firmin Lambot fut le troisième à 1 minute, vint ensuite Paul Duboc et Philippe Thys* (B) à 1mn 15s, Maurice Brocco à 1mn 55s, Jean Rossius à 2mn 20s, Émile Georget et Hector Tibergheim (B) à 3mn 40s… dans la difficulté, les autres suivaient dont Gustave Garrigou qui avait franchi ce sommet en tête en 1908, ils peinaient avec plus ou moins d’écart entre-deux.

 

*Philippe Thys avait dû effectuer un excellent temps, voire le meilleur car il eut des difficultés lors du retournement de sa roue pour attaquer la montée, lui faisant perdre beaucoup de temps, se retrouvant le dernier du groupe !

Carte postale Jean Alavoine (coll. privée)

 

Classement au sommet du Ballon d’Alsace (passage)

 

  1905 : René Pottier
  1906 : René Pottier
  1907 : Émile Georget
  1908 : Gustave Garrigou
  1909 : François Faber (L)
  1910 : Émile Georget
  1911 : François Faber (L)
  1912 : Odiel Defraye (B)
  1913 : Marcel Buysse (B)
  1914 : Jean Alavoine

 

Ainsi René Pottier, du moins sa stèle vit passer son énième successeur, lui qui avait franchi en tête ce col, en 1905 et 1906.

La stèle avec la nouvelle plaque (photo JM)

 

NA : Un lien en fin de texte permet d’accéder à l’article concernant cette inauguration du 18 juillet 1908.

 

Avec leur petite avance, le duo attaqua la descente pour tenter de fondre sur Belfort et s’approprier la victoire de cette 12e étape du Tour de France, mais à 4 kilomètres, Jean Alavoine vit son intention éclatée, du moins son pneu, le privant peut-être du graal !

 

Belfort, ville d’arrivée le 20 juillet 1913

 

Depuis 1907, Belfort était devenue ville d'étape, après n'avoir vu que passer les coureurs lors des deux éditions précédentes, avec tout de même un arrêt à la table de contrôle installée devant la brasserie du Commerce, place Corbis; les coureurs filaient après sur Besançon.

Carte postale Un Souvenir de Belfort Le sommet (coll. JM)

 

Henri Pélissier profita de l’aubaine, en tant que représentant du Lion... Peugeot, avoir la joie de gagner dans la Cité du Lion, il pouvait ainsi se rouler les poils de sa moustache en forme de guidon !

 

Au dernier kilomètre, XXX Angennot présentait le drapeau rouge à ce premier coureur lui signifiant ainsi la distance restant à parcourir. Il attendit le dernier pour ranger son attribut.

 

Comme pour les années précédentes, ce fut sur le quai Vauban que l'arrivée fut installée, près du magasin Chaussin; il est vrai que Fernand Chaussin était le représentant du journal L'Auto, l'organisateur de cette épreuve depuis 1903.

Carte postale Belfort Magasin Chaussin (coll. JM)

 

Pour accueillir les coureurs dans de bonnes conditions à l'arrivée, les derniers 400 mètres du parcours furent protégé par des barrières pour contenir le public; la totalité du Quai Vauban jusqu'à la route d'Offemont.

 

Deux tentes furent installées par Fernand Chaussin, à l’arrivée, dont une sous forme de tribune et l’autre destinée aux organisateurs dont le chronométreur.

 

Photo Fernand Chaussin parue dans L'Auto (doc. Gallica)

 

Par un soleil de plomb, le public fut fort nombreux à attendre les coureurs pour tenter de les identifier, pour les interpeller par leur nom, et à minima les applaudir. Les spectateurs s’étaient attelés à tenter à prendre les meilleures places, dont celles derrière les barrières, quai Vauban, et au faubourg de Montbéliard, vers la Brasserie Danjean. Mais tout le long du parcours, ils furent présents avec une augmentation du nombre à la sortie d’Offemont, au début du dernier kilomètre.

 

La sécurité fut assurée par les policiers sous la responsabilité du commissaire XXX Bessières, renforcée par la 6e compagnie du 42e Régiment d’infanterie, sous les ordres de l’adjudant Vergut.

 

Le contrôle d'arrivée fut placé sous la direction du Vélo Club Dellois, avec Messieurs Acarius et Rupps.

 

Carte postale Belfort Quai Vauban (coll. BF)

 

Aux abords de l'arrivée, étaient présentes à la tribune officielle et sur les côtés, les autorités civiles et plusieurs militaires dont le lieutenant aviateur Alexandre Gourlez, des magistrats dont le président du tribunal XXX Carré de Malberg, des commerçants dont le propriétaire du Tonneau d’or, Eugène Garteiser, des représentants des sociétés de sports dont le président du Veloce Club Dellois XXX Lindimer et des Sports Réunis Belfortains XXX Gerber…

 

Sur la ligne d’arrivée, l’inspecteur Georges Abran avait pris place, accompagné de l’animateur Lucien Cazalis.

 

La presse était aussi bien représentée, L'Alsace, La Frontière et le Haut-Rhin Républicain pour les locaux et des représentants de la presse nationale, dont le journal L'Auto-Vélo.

 

Le vainqueur de l'étape Genève-Belfort

 

À l'arrivée, peu avant 16 heures, une clameur monta en puissance car enfin la voiture du directeur de L'Auto annonçait les coureurs, du moins un, Henri Pélissier qui arriva seul dans la ligne droite du quai Vauban et franchit la ligne d'arrivée en vainqueur sous les ovations; il remportait sa première victoire sur ce 12e Tour de France.

Arrivé d'Henri Pélissier (doc. La Vie au Grand Air, coll. Gallica BNF)

 

Jean Alavoine put, tout de même, terminer à la 2e place, devant Paul Duboc.

 Jean Alavoine & Paul Duboc (doc. L'Auto, coll. Gallica BNF)

 

Le classement de la 12e étape

 

  1.Henri Pélissier en 12h 32mn 5s
  2. Jean Alavoine à 1mn 15s

  3. Paul Duboc à 2mn 20 s
  4. Jean Rossius à 2 mn 37s
  5. Maurice Brocco à 2mn 37s

Carte postale Henri Pélissier (coll. privée)

 

À l’applaudimètre, ce fut de loin, François Faber (Lux) le plus acclamé, qui arriva pourtant à 18 minutes du vainqueur.

Publicité Peugeot après cette étape (doc. L'Auto, coll. Gallica BNF)

 

Les vainqueurs à Belfort

 

  1907 : Émile Georget
  1908 : François Faber (L)
  1909 : François Faber (L)
  1910 : Émile Georget
  1911 : François Faber (L)
  1912 : Eugène Christophe (B)
  1913 : Marcel Buysse (B)
  1914 : Henri Pélissier

 

Les indépendants (ou isolés)

 

Le premier isolé fut le belge Camille Botte qui arriva à la 18e place, à 12 minutes; devant son compatriote Pierre Everaerst (B) et l’Italien Adrien.

Camille Botte (doc. L'Auto, coll. Gallica BNF)

 

Le classement général après cette 12e étape

 

Henri Pélissier reprit 2 minutes 42 secondes à Philippe Thys (B), confortant sa 2e place et titillant un peu plus le belge !

 

1. Philippe Thys (B) en 160h 57mn 14s
2. Henri Pélissier à 31mn 54s
3. Jean Alavoine à 1h 3mn 6s
4. Jean Rossius à 1h 20mn 11 s
5. Gustave Garrrigou à 3h 5mn 30s

 

Du côté des isolés, un trio belge avait pris possession de ce classement général, le premier étant aussi Camille Botte, à 8h 58mn 51s, devant Julien Tuytten et Pierre Everaerst.

 

Les enregistrements à la brasserie Danjean

 

Après l'arrivée, les coureurs durent se rendre à la Brasserie Danjean, faubourg de Montbéliard, pour l'enregistrement, effectué par Messieurs Danjean, Cardot et Enderlin.

 

Le secteur fut pavoisé de drapeaux et de guirlandes. Les deux frères, Marcel et Georges propriétaires des lieux, se dévouèrent pour que toutes les opérations prévues se déroulent sans problème.

 

Carte postale Belfort Fbg de Montbéliard, à droite la Brasserie Danjean (coll. JM)

 

En l'honneur des coureurs, une soirée fut organisée en ce lieu comme dans beaucoup d'autres endroits de la ville car le public voulait encore profiter de cette journée, pour en faire le tour...

 

D'autres commerces de la ville proposèrent des animations.

 

Une nouvelle fois, les services télégraphiques de la ville sous la responsabilité du receveur principal Gustave et du personnel dont MM. Etier et Sigrist, furent à la hauteur pour permettre aux journalistes de transmettre leurs dépêches. Ils en furent remerciés par Robert Desmarets, suppléant Henri Desgranges à Lyon.

 

Mardi 21 juillet 1914, la journée de repos

 

Comme pour les éditions précédentes, une journée de repos était intercalée entre chaque étape ou presque, pour permettre aux coureurs de récupérer des 12 à 17 heures passées sur leur bicyclette, pour les meilleurs, et se préparer à affronter l’étape suivante, ici la 13e étape, avec à nouveau le Ballon d’Alsace.

 

Pour le gîte, les coureurs étaient répartis dans les différents hôtels de la ville, les équipes ensembles, les isolés plus dispersés pour cause de règlement; pas plus de deux par hôtel.

 

La plupart des coureurs profitèrent donc de cette journée pour recharger les batteries, pas celles de leur bicyclette car pas encore inventées… les masseurs avaient du travail pour éliminer les fatigues musculaires.

 

Le programme fut principalement, ballade le long de la Savoureuse, aller rendre visite au Lion.

Carte postale Belfort Le Lion (coll. JM)

 

Par contre, les Lions de l'équipe Peugeot-Wolber, eux se rendirent à Beaulieu, à l'usine Peugeot, plutôt que d'aller admirer l'emblème de la ville… Ils furent reçus par Robert Peugeot, l'administrateur délégué de la société et le repas fut offert par le directeur de l'équipe Alphonse Baugé.

Carte postale Beaulieu Usine Peugeot (coll. JM)

 

Pour d'autres, le programme fut farniente, bon repas avec un bon vin, promenade… sous les yeux du Lion.

 

Les vélos étaient plutôt aux soins… mécaniques, dans des garages aux mains expertes pour les vérifier et les réparer au cas où, car leur santé était primordiale pour la suite.

 

Fin de la deuxième partie

 

Ci-dessous, le lien pour accéder à la 3e partie de cet article ou par le Sommaire.

 

Épilogue

 

Pour cette étape entre Genève et Belfort, trois coureurs furent à l’honneur, Jean Alavoine, le premier à franchir le sommet du Ballon d’Alsace, Henri Pélissier, le vainqueur de l’étape et le belge Philippe This toujours en tête du classement général, place acquise dès la première étape.

 

Donc le Ballon d’Alsace et Belfort avaient vu s’inscrire deux nouveaux noms, les septièmes sur les tablettes de ces deux lieux, présents sur le Tour de France depuis 1905.

 

À ce stade, l'équipe Peugeot avait la main mise sur cette édition, avec 8 coureurs dans le TOP 10, dont les 3 premiers du classement général.

 

JM

 

 

Liens pour accéder aux articles cités

 

Sommaire des Tours de France : Cliquer ici

 

Inauguration stèle René Pottier (Article Pottier) : Cliquer ici

 

Henri Desgrange (Tour 1937) : Cliquer ici

 

Tour de France 1914, Ballon d’Alsace & Belfort (1ère partie) : Cliquer ici

 

Tour de France 1914, Ballon d’Alsace & Belfort (3e partie) : Article à venir

 

Références presse : Journaux La Frontière et L’Alsace (doc. Archives départementales du Territoire de Belfort), Journal L'Auto (doc. Gallica BNF), Divers autres titres…

 

Référence Web : Wikipédia, Site La Grande Boucle, Divers autres Sites…

 

Infos pratiques  

 

Vous pouvez laisser des commentaires sur cette présentation via le lien "Commentaires" en fin de l'article après la liste des tags.

 

En cliquant sur une photo ou un document, vous pouvez l’agrandir.

 

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  • Le CartophiLion est un journal proposant des articles centrés sur la ville de Belfort et du département, ainsi que d'autres thématiques nationales et internationales (sports, fêtes & traditions...); agrémentés de visuels liés aux collections. A l'origine, il fut imaginé comme outil de communication des CCTB.
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