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LE CARTOPHILION
13 juillet 2024

Tour de France 1924 (1ère partie) : Présentation, 1ère étape & début 12e étape

En 1924, pour la 5e année consécutive, le Tour de France ne fit qu’emprunter les routes du Territoire de Belfort, sans étape à Belfort, comme il le fut systématiquement avant la Première Guerre Mondiale, de 1907 à 1914 !

 

Le passage fut sur le parcours de la 12e étape, Gex-Strasbourg, le lundi 14 juillet !

En-tête du journal L'Auto (doc. Gallica, BNF)

 

Cette 18e édition du Tour de France, était toujours organisée par le journal L'Auto, sous la responsabilité d'Henri Desgrange, du 22 juin au 20 juillet.

 

Cet article étant très dense, j'ai préféré le proposer en deux parties en utilisant l'entrée des coureurs dans le Territoire de Belfort, pour les séparer.

 

NA : En fin de texte, un lien permet d'accéder au Sommaire des articles consacrés au Tour de France et aux articles liés à cette épreuve cycliste.

 

Première demi-étape de l'article

 

Un petit re Tour sur le passé du Tour

 

Cette partie sur l’histoire générale du Tour de France dans le département du Territoire de Belfort étant présente dans le sommaire pour éviter les répétitions à chaque édition, je vous propose de vous y rendre si nécessaire.

 

NA : En fin de texte, un lien permet d’accéder au Sommaire contenant cet historique

 

Le Tour de France 1924

 

Pour cette 18e édition, les organisateurs firent preuve de créativité minimaliste car ils reconduisirent le même parcours que celui de 1923, avec une petite modification, en faisant une croix sur Genève, remplacé par Gex.

 

Le Tour de France 1924 se déroula du 22 juin au 20 juillet, avec au programme 5 425 kilomètres à effectuer en 15 étapes, entre Paris… et Paris, dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, d'Ouest en Est.

Carte du Tour de France 1924 (réal. BF)

 

Comme pour les éditions précédentes, un jour de repos était prévu entre chaque étape, les coureurs se reposèrent les jours impairs.

 

3 minutes de bonification furent attribuées au vainqueur de l'étape.

 

Les participants

 

Au 16 juin, à la fermeture des engagements, 180 coureurs s'étaient inscrits à cette édition.

 

Ils ne furent que 157 concurrents à prendre réellement le départ; ils étaient répartis dans trois groupes; 46 dans le groupe de la Première catégorie pour les coureurs dit d'expérience, 12 dans celui de la Deuxième catégorie et 125 dans celui des Touristes-routiers.

 

Il n'y avait pas d'équipe constituée, la course devait se dérouler en individuel, imposée par le règlement.

 

Le départ était prévu le 22 juin, depuis le pont de la commune d'Argenteuil.

Carte postale Le pont d'Argenteuil (coll. privée)

 

Les coureurs étaient majoritairement français, belges et italiens, il y avait aussi 7 suisses, deux espagnols et deux luxembourgeois.

 

S'ils devaient courir en individuel et qu'ils n'étaient pas intégrés au sein d'équipes, des coureurs portaient tout de même, les couleurs de la marque de leur monture !

 

Au départ de cette 18e édition, parmi les favoris, le vainqueur de l’année précédente, Henri Pélissier, bien qu’il ne fut pas enclin à se présenter au regard de la pénibilité de cette compétition face à son âge, 35 ans; son équipementier Automoto lui avait imposé cette participation.

Carte postale Henri Pélissier (coll. privée)

 

Dans la même équipe, il y avait aussi son coéquipier italien Ottavio Bottecchia, arrivé deuxième en 1923.

 

Sans oublier l’armada Belge avec Philippe Thys vainqueur en 1913, 1914 et 1920, Léon Scieur vainqueur en 1921, Firmin Lambot vainqueur en 1919 et 1922…

 

Les marques

 

Les marques étaient donc bien présentes, pas en formation d'équipe mais en support de coureurs. Dix étaient représentées en première catégorie.

 

  - Alcyon-Dunlop : Maillot bleu ciel
  - Armor-Dunlop : Maillot vert clair
  - Automoto-Hutchison : Maillot violet
  - Christophe-Hutchison
 : Maillot bleu et bande jaune
  - Griffon-Dunlop : Maillot vert foncé
  - Labor-Dunlop : Bleu ciel
  - La Française-Dunlop : Maillot rouge
  - Legnano-Hutchison : Maillot vert et blanc

  - Peugeot-Wolber : Maillot bleu et or
  - Thomann-Dunlop : Maillot orange

Extrait publicité marque Alcyon (doc. Privée)

 

Six équipes françaises, deux équipes italiennes, une équipe belge et une mixte.

 

Deux marques dominatrices équipaient des coureurs pouvant défendre leurs couleurs, voire obtenir le graal !

Une palette de coureurs (journal L'Auto, doc. Gallica, BNF)

 

Automoto-Hutchison avec les frères Pélissier, Henri et Francis, l’italien Bottecechia, Maurice Ville, Archile Souchard, le suisse Henri Colle, Victor Fontan, le belge Lucien Buyssse et Lucien Rich

 

Peugeot-Dunlop avec, Jean Alavoine, Romain Bellanger, Philippe Thys, Robert Jacquinot, Firmin Lamblot, Joseph Muller, Hecto Tiberghien, Henri Sutter, Marcel Huot, Joseph Curtel, René Gérard et le belge Adolphe Van Bruaene

 

Bicyclette

 

Les coureurs ne devaient utiliser qu’une seule bicyclette par ailleurs plombée aux raccords du cadre et aux moyeux des roues; le poinçonnage comme les années précédentes fut abandonné. Une plaque, marquée du numéro attribué aux dimensions définies, était fixée sur l'avant du cadre, peinte en blanc et chiffres en noir.

Format de la plaque réglementaire (doc L'Auto, Gallica BNF)

 

L’opération étant effectuée sous la responsabilité de Charles Ravaud et XXX Avocat

 

Les coureurs devaient courir en individuels, donc pas d’entre-aide…Le coureur était seul lors des courses, non accompagné donc sans soigneur, entraîneur, mécanicien… seulement autorisés aux étapes, mais qui devaient être agréés par l'organisation, avant le départ du Tour.

 

Le coureur ne pouvait pas être ravitaillé par un tiers, il devait prendre ses dispositions pour effectuer l'étape ou se ravitailler par ses soins sur le parcours comme par exemple, aller à une fontaine pour remplir sa gourde.

Illustration de Tristani (journal L'Auto, doc. Gallica, BNF)

 

Les coureurs devaient effectuer seuls les réparations. En cas de problème mécanique grave avec une bicyclette, le coureur peut en utiliser une autre, mais de marque différente. La voiture balai la ramassant pour la livrer à la ville d'arrivée pour permettre sa remise en état car elle devait être utilisée pour le prochain départ.

 

Le classement général était établi en additionnant les temps réalisés lors des étapes.

 

Il va sans dire mais il était écrit que tout non-respect du règlement entraînait des pénalités (temps, argent…) voire l'exclusion.

 

Les primes et challenges

 

Au départ du Tour, les primes principales prévues furent celles de l’organisateur L’Auto et des Produits Gibbs; elles furent complétées d’autres nombreuses, tout le long des étapes, par des sociétés, des municipalités, des commerces et des particuliers.

 

Prix officiels distribués par L'Auto

 

Bien entendu, ce Tour de France comme les précédents était doté de nombreux prix attribués par l'organisateur, suivant les résultats des coureurs pour un montant total de 100 050,00 francs.

 

   Les primes pour les Touristes-routiers

Pour chaque étape, 17 primes : 200, 100 et 60 (15)
Pour le classement général, 6 primes : 2000, 1000, 600, 400, 100 (2)

 

   Les primes pour les coureurs de la 2e catégorie

Pour chaque étape, 18 primes : 300, 200, 150 et 100 (15)
Pour le classement général, 7 primes : 3000, 1500, 800, 600, 500, 400 et 200

 

   Les primes pour les coureurs de la 1ère catégorie

Pour chaque étape, 22 primes : 1200, 600, 550, 400, 250, 150 et 100 (16)
Pour le classement général, 7 primes : 19000, 5000, 3000, 2000, 1000, 500 et 250

Illustration (journal L'Auto, doc. Gallica, BNF)

 

   Sommes complémentaires (article 80)

 

Cette catégorie bénéficiait en plus, article 80 du règlement, de 50% des sommes gagnées par les coureurs ayant abandonné. La décision revenait au directeur de la course en fonction de la situation de l'abandon. Le montant redistribué était réparti ainsi

 

   - 40% au premier
   - 20% au deuxième
   - 12% au troisième
   - 8% au quatrième
   - 5% au cinquième

 

Les 15% restant étant distribué, à part égales, entre tous les autres franchissant la dernière ligne d'arrivée.

Illustration (journal L'Auto, doc. Gallica, BNF)

 

Primes Gibbs

 

En 1924, les propriétaires des Produits Gibbs, XXX Thibaut et Cie, dotèrent cette édition d’une somme totale de 45 000,00 francs se déclinant ainsi

 

   - 1er au classement général : 10 000,00 francs
   - 2e au classement général : 5 000,00 francs
   - Au 1er de chaque étape : 2 000,00 francs (15 étapes = 30 000,00 francs)

 

Paris, départ le 22 juin de la 18e édition

 

Le départ du Tour de France 1924, comme l'année précédente, s’effectua depuis le parc d’attraction Luna-Park, porte Maillot, et non plus depuis la place de la Concorde, afin de mieux maîtriser les débordements du public.

Carte postale Paris Luna Park (coll. privée)

 

Le rendez-vous pour le départ fut donné le samedi 21 juin à partir de 22h30 en ce lieu, où tous les concurrents devaient émarger la feuille de contrôle et recevoir leur dossard. Ces opérations furent effectuées sous la direction de Charles Ravaud de L'Auto; il était assisté d'André Ravaud, Emilien Robert et des trois commissaires de course.

 

Le public avait accès, en réglant un droit d'entrée de 2,00 francs.

 

Une foule considérable, malgré l'heure tardive, était venue pour voir et applaudir les coureurs, tant à l'intérieur du Luna Park qu'à l'extérieur, la maréchaussée sous le commandement du commissaire de police de Neuilly, avait bien du mal de contenir les excitations d'un public enthousiaste.

Illustration (journal L'Auto, doc. Gallica, BNF)

 

L'appel fut effectué à 0h30 et un quart d’heure plus tard, 157 coureurs finalement qualifiés, nouveau record de participants, firent un départ fictif pour rejoindre Eaubonne, le lieu de départ réel, précédemment prévu à Argenteuil; ils furent précédés par la voiture officielle pilotée par Alexandre Baudry, une Rolland-Pilain, dans laquelle se trouvait Charles Ravaud guidant le peloton, en empruntant la porte Maillot, le boulevard Victor Hugo, les quais, le pont Bineau, Courbevoie et Colombes.

 

Tout le long du parcours, de très nombreux spectateurs applaudirent les coureurs passant devant eux et firent une ovation à certains, comme aux frères Pélissier.

 

Ils eurent des difficultés pour traverser Sannois, car une route était barrée et le passage à niveaux était fermé, ce qui fit que l’heure de départ fut largement dépassée ! Quand l’ensemble des coureurs fut réuni à Eaubonne, Charles Ravaud tira un coup de révolver pour libérer les forçats de la route devant parcourir de 5425 kilomètres pour revenir à Paris, le 22 juillet.

Carte postale Eaubonne Rue de Paris (coll. privée)

 

Il était 3h20, près d’une heure de retard sur le timing prévu !

 

À Clermont (79e km), le peloton avait déjà perdu plus d’une trentaine de coureurs et encore une vingtaine de plus, au passage à Montdidier (114e km) un peu plus de trois heures après le départ.

 

Au passage d’Abbeville (204e km), la course n’est toujours pas décantée car ils sont encore 90 dans le peloton, lors du contrôle.

Carte postale Souvenir d’Abbeville (coll. privée)

 

Il va s’en dire, mais je l’écris tout de même, que tous le long du parcours et surtout dans les villes où se tenait un contrôle, le public était présent et extrêmement chaleureux envers les routiers.

 

Il fallut atteindre Dieppe (259e km), pour voir un peloton amoindri à 40 unités, emmenés par les frères Pélissier. Il ne fut plus que d’une vingtaine à Fécamp (335e km), le duo était complété de Philippe Thys, Léon Scieur, Maurice Ville, Romain Bellanger, Joseph Curtel, Félix Sellier, les belges Marcel Buysse et Victor Fontan, le luxembourgeois Nicolas Frantz, les italiens Ottavio Bottecchia et Giovanni Brunero…

Carte postale Souvenir de Fécamp (coll. privée)

 

Ce fut ce groupe qui entra dans Le Havre où le soleil dominait après une matinée brumeuse.

 

L’arrivée des coureurs au début du boulevard François 1er provoqua une forme de liesse dans le public qui avait tant attendu ce moment. Elle fut tout de même canalisée par le service d’ordre formé de la police et de la gendarmerie, renforcé par les militaires du 129e Régiment d’infanterie.

Carte postale Le Havre Boulevard François 1er (coll. privée)

 

Du groupe, se détachèrent plusieurs coureurs dont l’italien Ottavio Bottecchia qui fut le plus fort et remporta le sprint devant Maurice Ville, Félix Sellier, Henri Pélissier et le luxembourgeois Nicolas Frantz.

Ottavio Bottecchia (photo Miroir du Sport, doc. Gallica, BNF)

 

Malgré l’arrivée du groupe en même-temps, le transalpin prit la tête du classement général avec 3 minutes d’avance sur le quatuor dans l’ordre de l’arrivée.

 

Passons quelques étapes…

 

12e étape, départ de Gex

 

Comme en 1920, la 12e étape partit de Gex et non de Genève comme lors des éditions de 1921 à 1923.

 

Le 12 juillet, la victoire à Gex revint au luxembourgeois Nicolas Frantz lors du sprint, devant Jean Alavoine et le belge Félix Goethals. Avec ces 3 minutes de bonification acquise, il conforta sa 2e place derrière le leader italien, Ottavio Bottecchia, acquise à Toulon, lors de la 8e étape.

Publicité Alcyon Vainqueur 11e étape, Nicolas Frantz
(journal L'Auto, doc. Gallica, BNF)

 

Au regard du classement général à Gex, les italiens dominaient les débats

 

   1er Ottavio Bottecchia (I) 163 h 40 mn 14 s
   2e Nicolas Frantz (L) à 38 mn 52 s
   3e Giovanni Brunero (I) à 45 mn 37 s
   4e Bartolomeo Aimo (I) à 1 h 31 mn 51 s
   5e Lucien Buysse (B) à 1 h 35 mn 46 s

 

Le 1er français, était Romain Bellenger à la septième place.

 

Le départ, le 14 juillet

 

Après une journée de repos, les coureurs devaient remonter sur leur monture pour une nouvelle étape, la 12e , entre Gex et Strasbourg, 360 kilomètres avec le franchissement du col de la Faucille (1322 mètres), placé au 27e kilomètre.

Annonce de la 12e étape (journal L'Auto, doc. Gallica, BNF)

 

Au départ de Gex, le 14 juillet, pour la 12e étape, le peloton ne comprenait plus que 64 unités, composé de 18 coureurs de la Première Catégorie, 5 de la Deuxième et 41 Touristes-routiers.

 

9e au classement général, le local de cette étape, le strasbourgeois Joseph Muller, qui avait gagné cette étape l’année précédente, partant de Genève, aurait-il les jambes pour récidiver pour ce jour symbolique, le 14 juillet.

 

Le contrôle du départ fut installé devant le Café Janin, sur la route nationale, pour effectuer les enregistrements sous le contrôle de XXX Grosfilex, le correspondant de L’Auto et de la Gexoise.

Carte postale Gex La place (coll. privée)

 

Les autres prévus pour cette journée étaient positionnés à Morez, Pontarlier, Belfort, Mulhouse et Colmar; tout comme les ravitaillements à Pontarlier, Montbéliard et Colmar


À 2 heures du matin, fut donné le départ aux 64 coureurs par Lucien Cazalis, qui durent attaquer rapidement les 10 kilomètres en lacet du Col de la Faucille (27e km). Même si un petit groupe d’une trentaine de routiers passa en ayant creusé un trou, il fut escaladé avec un très petit rythme et même en partie à pied ! Car leur demande de décaler le départ à 3 heures, pour aborder ce col qu’ils considéraient dangereux, ne fut pas acceptée par les commissaires. Ils se sécurisèrent entraînant une heure de retard au sommet du col…

Carte postale Col de la Faucille (coll. privée)

 

Dans le petit peloton, se trouvaient les leaders, dont Jean Alavoine, Joseph Muller, les italiens Ottavio Bottecchia et Giovanni Brunero, le luxembourgeois Nicolas Frantz, le belge Marcel Buysse…

 

À Morez (37e km), ce peloton fut peu ou prou, dans la même configuration, mais qui grossit peu à peu avant d’arriver à Pontarlier (88e km), où le public en ce 14 juillet, fort nombreux, avec des spectateurs agitant leurs drapeaux et acclamant les coureurs, qui avaient près d’une heure de retard sur l’horaire prévu.

Carte postale Pontarlier Grande Rue (coll. privée)

 

Le passage à Maiche (157e km vit le peloton rouler à un rythme de sénateurs.

Les coureurs le long du Doubs
(photo Miroir du Sport, doc. Gallica, BNF)

 

Au contrôle de ravitaillement de Montbéliard (200e km), comme toujours une foule énorme et toujours extrêmement enthousiaste au passage des coureurs, surtout qu’il y a un petit arrêt. Toujours sous la forme d’un peloton reconstitué, ils arrivèrent un peu avant 11h30 pour faire le plein car il restait encore pas mal de kilomètres pour rejoindre Strasbourg, ville d’arrivée de la 12e étape.

Carte postale Souvenir de Montbéliard (coll. privée)

 

Après le ravitaillement, les coureurs quittèrent la Cité des Princes pour prendre la direction de la Cité du Lion, en empruntant les routes des communes du Territoire de Belfort, Châtenois, Trétudans, et Danjoutin.

 

Fin de la première demi-étape de l'article

 

NA : En fin de texte, un lien permet d'accéder à la seconde demi-étape de l'article.

 

Épilogue

 

Dans cette première partie de l'article, on découvre l'organisation de cette édition du Tour de France 1924, les tenants et aboutissants, la 1ère étape et le début de l'étape entre Gex et Strasbourg, avec un italien en tête du classement général, Ottavio Bottecchia.

 

À la fin de cette première partie, les coureurs sont entrés dans le Territoire de Belfort… transmettant le témoin à la deuxième partie de l’article, pour poursuivre le déroulement de cette 18e édition de la plus grande course du Monde.

 

JM

 

Liens pour accéder aux articles cités

 

Sommaire des Tours de France : Cliquer ici

 

Tour de France 1924 Belfort ville de passage (2e partie) : Article à venir

 

Références presse : Journal L'Auto (Gallica, BNF), Journaux L’Alsace et La Frontière (Coll. Archives départementales du Territoire de Belfort),

 

Référence Web : Wikipédia, La Grande Boucle, Divers autres Sites…

 

Infos pratiques  

 

Vous pouvez laisser des commentaires sur cette présentation via le lien "Commentaires" en fin de l'article après la liste des tags.

En cliquant sur une photo ou un document, vous pouvez l’agrandir.

 

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  • Le CartophiLion est un journal proposant des articles centrés sur la ville de Belfort et du département, ainsi que d'autres thématiques nationales et internationales (sports, fêtes & traditions...); agrémentés de visuels liés aux collections. A l'origine, il fut imaginé comme outil de communication des CCTB.
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