Les Squares de Belfort (1er épisode) : Le square du Souvenir
MAJ le 9 mai 2022
Lors de la rédaction du premier article sur les squares, qui était un préambule, j’avais engagé le traitement de cette série sur l’angle historique de la création des squares à Belfort. Ils sont nés bien avant l’arrivée du Lion mais étaient plutôt sous la forme de promenades.
NA : En fin de texte, un lien permet d'accéder à l'article sur les origines des squares à Belfort.
Je vous propose de partir à la découverte d’un des premiers squares créés dans la Cité du Lion et sous son regard, le Square du Souvenir.
Vue aérienne du square vers 1948 à la droite de la Savoureuse
Avant que le square naisse et prenne forme, il fut précédé par l’installation d’un monument… le Monument aux morts !
Le Monument aux Morts
C’est le 27 novembre 1920, sous l’action du maire Noël Lapostolest que le conseil municipal décida d’ériger un Monument aux Morts de la Grande Guerre en mémoire du sacrifice des 1056 belfortains Morts pour la France.
Le lieu choisi fut le champ de foire, situé le long de la rive gauche de la Savoureuse, dont le projet était de le transformer en jardin public dans le futur.
Carte postale Le Monument aux Morts en 1925 (coll. BF)
NA : En fin de texte, un lien permet d'accéder à l'article spécifique consacré au Monument aux morts.
Le Square du Souvenir
Comme envisagé par la municipalité, dès la décision d’installer le Monument aux morts au centre du terrain, elle veut y créer autour un écrin de solennité en l’aménageant en jardin public.
En septembre 1924, l’entreprise Jardin Belfort de Gustave Tharin est sollicitée pour réaliser ce projet. Dés début octobre, elle propose un devis de 88350 francs pour réaliser l'aménagement comprenant les travaux de décapage de la surface, l’apport de terre végétale, l’implantation des arbres et la création des massifs. A l’origine, les travaux devaient être terminés avant l’inauguration du Monument aux morts donc fin novembre.
En tête de facture de l’entreprise Jardin Belfort de Gustave Tharin
(doc. AMB)
Mais après réflexion, la municipalité décide de reporter les travaux, par définition trop frais, après la manifestation; elle eut peur qu’ils ne supportent pas la présence des participants et de la foule attendue.
Dès le mois de novembre, des voix s’élèvèrent dont l’horticulteur héricourtois Joseph Knapp du fait que ces travaux seraient réalisés par un étranger ! Dans une édition de février 1925, le journal La Frontière informe que la mairie recherche un horticulteur pour effectuer l’aménagement du futur square. Gustave Tharin comprenant qu’il n’effectuera pas ces travaux, demande un dédommagement de 2225 francs pour les études effectuées. La mairie refusant d’acquitter cette compensation, l’entreprise portera plusieurs plaintes devant les services de l’état, dont la préfecture. Après bien des pérégrinations, finalement, elle sera dédommagée à l’occurrence de 1000 francs.
Comme quoi la création du square du Souvenir ne fut pas un jardin de quiétude !
En janvier 1925, l’architecte parisien Albert Le Monnier proposa un projet finalisé avec plan à la municipalité. Il proposa une large allée centrale dans l’axe du monument avec de chaque côté des parties engazonnées plantées d’arbres et d’arbustes. Au fond du square côté rue Degombert, la création d’un jardin public qui intègrerait un terrain de jeux pour les enfants, un terrain de tennis et un kiosque. Le conseil municipal accepta partiellement le projet avec le concept de jardin public proposé par l’architecte mais refusa l’implantation des équipements prévus qu'étaient le kiosque et le terrain de tennis.
Partie du plan couvrant le Jardin Public du square
(projet janvier 1925, doc AMB)
Après dépouillement des offres, la municipalité attribua le 18 mai 1925 la réalisation des travaux à l’horticulteur-pépiniériste à Montbéliard, Charles Meckert, le moins disant avec un devis de 59760 francs.
En tête de facture de l’horticulteur-pépiniériste Charles Meckert
(doc. AMB)
La municipalité n’ayant plus de responsable au service travaux, confia le 25 juillet 1925 la direction et la surveillance du projet à l’architecte belfortain, Paul Giroud. En mars 1926, il proposa un nouveau projet proche du précédent mais en prenant en compte les décisions du conseil municipal.
Partie du plan couvrant le Jardin Public du square
(projet mars 1926, doc. AMB)
Ce plan final prévoit toujours un square en deux parties. La première partie avec une large allée centrale pour accéder au monument, l’implantation de nombreux arbres de chaque côté. La deuxième partie, située en extrémité du square, serait réservée à un jardin public constitué d’un massif entouré de bancs.
Cette deuxième partie sera aménagée en 1927; nous y reviendront un peu plus tard…
L’horticulteur-pépiniériste Charles Meckert exécuta les travaux comme prévu par le projet et planta 18 ifs hibernica, 20 baliveaux d’ornements, 20 ifs taxus, 200 troènes…
Les travaux furent réceptionnés provisoirement le 16 mai 1926 et définitivement le 5 février 1927.
Le square, terrain de jeux des enfants (vers 1930, coll. BF)
Ce fut sous la responsabilité du tout nouveau maître-jardinier Emile Lechten, belfortain d’adoption, que fut réalisée la décoration florale du square.
Deux cartes postales du square vers 1930-1939 (coll. BF)
Portail d’entrée et clôture
Lors du conseil municipal, du 26 février 1927, fut entériné le projet de clôturer le square.
Plan descriptif de la clôture réalisé par le service des travaux de la mairie (doc. AMB)
Les travaux furent commandés le 25 avril 1927, après dépouillement des offres, aux entrepreneurs belfortains Louis Picaud pour la maçonnerie pour un montant de 32300 francs et Albert Aubry pour la grille pour un montant de 33120 francs.
En-têtes de courrier des entreprises Albert Aubry et Louis Picaud
(doc. AMB)
L’entourage constitué d’une murette portant la grille ne clôt pas la totalité du square. Il ne concernait pas la partie latérale, longeant la Savoureuse, qui assurait par définition une protection naturelle. Sur son pourtour, plusieurs portails permettent l’accès au square.
Les travaux furent réceptionnés définitivement le 21 janvier 1929.
Par contre, la municipalité voulait que ce nouveau square possède une porte d’entrée en rapport avec le monument en son centre.
Deux projets furent soumis au conseil municipal concernant le portail d’entrée. Ils furent proposés par des ferronniers d’art de la Cité du Lion. Ce fut celui de M. Charles Schick qui fut retenu le 28 mai 1927 au détriment de celui de M. Ph. Grille !
Extrait du plan dessiné du projet proposé par Charles Schick (doc. AMB)
La commande fut passée le 20 septembre 1927 au ferronnier choisi.
Extrait courrier adressé par Charles Schick pour proposer son projet (doc. AMB)
La porte monumentale pour l’entrée du square, réalisée par l’entreprise belfortaine, fut installée au printemps 1928 et réceptionnée le 16 juin.
Carte postale Le portail d’entrée du square (coll. BF)
Ce même ferronnier réalisera aussi celle du Square Lechten en 1929.
NA : En fin de texte, un lien permet d'accéder à l'article sur le square Lechten.
Après la récente et longue période de rénovation (brossage et peinture) de l’ensemble de la clôture du square, le monumental portail a retrouvé une nouvelle parure forte seyante.
Portail après la rénovation récente de 2013 (photo JM)
La Croix de guerre
En partie supérieure et centrale du portail, on y remarque la représentation de la Croix de Guerre 1914-1918, attribuée à Belfort en 1920, entourée de deux gerbes de laurier.
Gros plan sur La Croix de Guerre (photo JM)
*Croix de Guerre : Belfort reçut la Croix de Guerre le 4 juillet 1920. Elle fut remise par le Maréchal Pétain au maire de la ville, Léon Schwob. La Cité du Lion fut décorée de cette médaille pour sa bravoure. Car Belfort est restée toujours inviolée malgré les lourds bombardements et a assuré avec courage son rôle de sentinelle avancée.
Carte photo de la remise de la médaille (coll. BF)
NA : L'année prochaine en 2020, on fêtera son centenaire… un article sera proposé aux fidèles lecteurs du blog.
Les deux fontaines
Dès l’entrée franchie du square, deux belles fontaines identiques et de grande longueur, s’imposent de chaque côté de l’allée principale.
Carte postale Les deux fontaines derrière le portail d’entrée (coll. BF)
Dans l’axe du Monument aux Morts. Les deux fontaines sont installées de chaque côté et non devant la grille comme la flaque d’eau pourrait le faire penser… en regardant la carte postale !
Les deux fontaines (Photos JM)
Lors du conseil municipal du 25 juin 1927, fut décidé d’installer deux fontaines pour agrémenter le nouveau square.
La commande fut passée dès cette date à l’entreprise belfortaine Andréani & Baruffaldi.
Plan de la fontaine dessiné par les services travaux de la mairie
(doc. AMB)
Daté du 26 août 1927, il fut présenté au conseil municipal.
Réalisées en pierre d’Euville*, les fontaines sont formées d’un demi-ovale de 5,4 m de longueur, d’une profondeur de 2,1 m et haute de 1,9 m. Elles ont été installées dans le square en fin 1928 et réceptionnées le 22 décembre de la même année.
*La pierre d’Euville est extraite des côtes de Meuse situées à l’ouest de la Lorraine. Cette pierre de calcaire a été utilisée pour la construction de nombreux bâtiments dont le Monument aux morts. Euville et ses carrières se situent au sud de Commercy, dans le département de la Meuse.
Au dos de chaque fontaine, on y trouve une petite vasque surmontée d’une tête de lion qui l’alimentait en eau.
Têtes de lion sur les parties avant et arrière de chaque fontaine
(photos JM)
Les 2 fontaines ne fonctionnent plus que pendant la belle saison (info PP).
Sans avoir eu la possibilité de se désaltérer d’une eau qui n’aurait pas été obligatoirement Savoureuse, continuons notre visite…
La partie du square dédiée aux souvenirs (suite)
Hormis le Monument aux morts, le square du Souvenir accueille trois autres monuments commémoratifs.
Le Monument de la Guerre d'Indochine
Juste après la fontaine de gauche, se dresse le mémorial édifié en hommage aux disparus et aux vétérans de la Guerre d’Indochine*.
*Guerre d’Indochine : Elle débute le 19 décembre 1946 suite à l'insurrection débutée à Hanoï et prend fin le 24 juillet 1954 par les Accords de Genève. Le mémorial des Guerres d’Indochine est situé à Fréjus.
Carte de l’Indochine
La stèle fut implantée par la volonté de Jean Touzain (5ème bataillon coloniale des commandos parachutistes), avec l’accord de la municipalité, en l’honneur de ses 53 camarades belfortains tués durant ce conflit.
Le Mémorial belfortain de la Guerre d'Indochine (photo JM)
Il voulait un monument dédié suite à la création de la Journée Nationale d’hommage aux morts pour la France en Indochine chaque 8 juin (décret n° 2005-547 du 26 mai 2005).
Monument portant la carte de l’Indochine (photo JM)
L’inauguration se déroula le 8 juin 2006 en présence des autorités
Le jour de l’inauguration (Photo ER)
Le Monument des pompiers
De l’autre côté, son pendant est le monument rendant hommage aux Sapeurs-pompiers belfortains morts pour la France ou victimes de leur devoir (période de 1878 à 1997). Les noms de ces hommes du feu morts au feu ou par le feu, sont listés sur le granit du monument.
Le Monument (photo JM)
Sur la face avant du Monument est inscrite la liste des 19 sapeurs-pompiers belfortains Morts pour la France depuis 1878.
La liste des Sapeurs-pompiers sur la dalle (photo JM)
Initialement, ce monument était implanté dans l’ancienne caserne avenue Jean Moulin. Il fut transféré en 2000 dans le square et à cette occasion la plaque fut renouvelée. La précédente était l’originelle inaugurée le 20 décembre 1953 et apposée sur la façade sud du théâtre; lieu où était implantée la caserne avant son transfert.
Photo de la cérémonie en 1953
NA : Cette première plaque a disparue; toute information facilitant sa découverte, permettrait de la conserver au Musée.
Par contre, au pied du monument actuel se trouve la palme d’origine (visible sur la photo de 1953).
NA : Ces informations et la photo de 1953 proviennent de Patrice Pruniaux l'animateur en charge du blog ''Histoire du Corps de Sapeurs Pompiers de Belfort‘’.
Pour ceux qui veulent mieux connaître l’histoire de ce corps, un lien en fin de texte permet d'accéder au Site.
Ces deux monuments sont placés aux pieds de grands arbres qui déversent leurs ombres protectrices et apportent une sérénité de bienséance à leur endroit.
Le monument du Poilu
Initialement, le Monument du Poilu était situé à l'extérieur du square, un peu avant l'entrée principale, proche de la Savoureuse. Il fut déplacé en avril 2018 à l'intérieur du square, un peu avant le Monument aux morts, côté gauche.
Carte postale Le monument du Poilu (coll. BF)
L'œuvre intitulée "Le Soldat vainqueur" fut l’œuvre du sculpteur Léon de Leyritz et fondu par la maison Darenne de Paris. Le socle fut réalisé par le sculpteur belfortain Eugène Traut.
Carte postale Le monument du Poilu (coll. BF)
Il fut installé en avril 1928 à l'extérieur du square; il n'a pas été inauguré!
NA : En fin de texte, un lien permet d'accéder à l'article consacré au Monument du Poilu.
Les vespasiennes
Les anciennes vespasiennes ont été remplacées par un petit bâtiment (en 19XX ?).
Le nouveau bâtiment, façade nord (photo JM)
Ce lieu d’aisance actuel n’est plus celui d’origine, son architecture est beaucoup plus simple; son remplacement est dû certainement à sa vétusté!
Le nouveau bâtiment, façade sud (photo JM)
Comme pour la grille, le bâtiment a lui aussi bénéficié d’une rénovation pour être en accord avec l’entourage du square.
Le jardin public ou la partie du square dédiée aux enfants
Poursuivons notre visite vers le fond du square…
L’aménagement de cette partie fut entériné lors du conseil municipal du 29 janvier 1927; le devis de 21598 francs de l’horticulteur montbéliardais Charles Meckert, ayant réalisé l’aménagement de la première partie du square, fut accepté. La commande fut passée le 21 mai 1927, les travaux effectués rapidement et réceptionnés définitivement le 13 mars 1928.
L'allée menant à la partie arrière du square (photo JM)
Pour cette deuxième partie, l’horticulteur planta 15 sapins, 10 ifs bagatas, 28 baliveaux d’ornements, 60 rosiers à tige, 300 arbustes à fleurs et à feuilles persistantes pour taillis, 200 troènes,
Derrière ce monument, une allée nous fait découvrir un beau massif de fleurs où se juxtaposent dahlias, géraniums, zinnias…
Le massif tout en fleurs (photo JM)
Le chalet (ou... le petit kiosque)
Si le kiosque proposé dans le plan d’aménagement du square par l’architecte parisien Albert Le Monnier en janvier 1925, n’avait pas été retenu par la municipalité… quelques années plus tard, le conseil municipal décida le 22 juillet 1933 d’installer un chalet dans le square. Le terme choisi de chalet ne peut pas cacher la réalité... il ressemble curieusement à un kiosque !
Il fut implanté dans la partie gauche du jardin public.
Dessin du chalet donnant une projection du résultat (doc. AMB)
Le projet élaboré, de belle facture, sous la forme de décagone combinait maçonnerie et menuiserie.
Plan du chalet montrant sa forme au sol (doc. AMB)
Pour sa réalisation, on fit fait appel à plusieurs artisans; Edouard Schmitt pour la maçonnerie, Joseph Darboret, menuisier, pour la charpente, Charles Wagner pour la zinguerie et enfin pour la finition (peinture) Henri Lienemann Fils.
Il fut terminé en fin d’année 1933.
Le chalet en 1976 (Photo BF)
Il fut démonté en octobre 2010 car au fil du temps, il était devenu un squat avec tous les désagréments engendrés et proche d’un lieu dédié aux enfants.
Démontage du kiosque (Photo Belfort’Mag)
Le Gaulois Mourant
En allant sur la droite, les grands arbres abritent un autre monument, celui du Gaulois Mourant ou appelé Gaulois blessé implorant Teutatès*.
Le Gaulois mourant (photo JM)
*Teutatès : Il est l’un des dieux gaulois dans la mythologie celtique. On le trouve aussi sous la dénomination Totatus et Toutatis. Il apparaît dans l’épopée La Pharsale de Lucain; ce récit traite de la guerre civile où s’opposèrent Jules César et Pompée en 49 avant J.-C. pour régner sur Rome. Les bédéphiles connaissent ce dieu grâce à la série Astérix.
Cette œuvre réalisée en 1869 par le sculpteur Léon Alexandre Delhomme (1841-1895) fut implantée en 1929 par décision du conseil municipal du 10 mai. Elle fut attribuée à Belfort par l’Etat en 1874 pour son Musée d’Art et d’Histoire.
Le haut du Gaulois Mourant et le nom de l'artiste (photo JM)
Constituée de marbre, ses dimensions sont 1,7 m de longueur, 2 m de hauteur et 0,7 de largeur. Le Gaulois repose sur un bloc de granit rose le mettant en valeur.
Le terrain de jeux
Dans ce lieu où si l’on y commémore les morts, des enfants paradoxalement jouent quelques fois entre autre… à la guerre ! Une partie du square leur est réservée.
Le secteur des jeux pour enfants (photo JM)
Protégé naturellement par les grands arbres du fond du square et sous l’œil bien veillant du Gaulois, une surface est dédiée aux enfants; ils s’approprient les équipements de jeux installés et mis à leur disposition.
Pendant que les enfants jouent, les parents se reposent… (photo JM)
Les bancs disposés autour de ce terrain permettent aux parents de surveiller leur progéniture et d’éviter… d’autres guerres !
Notre visite du square du Souvenir se termine et nous refermons les vantaux de son portail car la nuit est tombée…
Le soir venu, la grille est fermée (photo JM)
A l’origine, l’entrée du square était éclairée par deux candélabres installés en juin 1929 par la société Gaz de Mulhouse. Ils furent commandés par la municipalité le 14 février; décision entérinée lors du conseil municipal du 26 janvier. Aujourd’hui, ces candélabres n’existent plus, tout comme les deux installés en même temps pour éclairer le Monument du Poilu quand il était à son premier emplacement.
Epilogue
Ce vaste square est un lieu assez prisé des belfortains de tout âge. De plus, il possède une palette de sujets à découvrir ou simplement permet de se reposer sur un des bancs disséminés en contemplant la nature…
Certaines journées, le gazouillement des oiseaux fut couvert par le son sortant de baffles; le square accueille chaque année les scènes musicales du FIMU et de la Fête de la musique.
Pour le 15 août, le square participe à la traditionnelle journée de la Passerelle des Arts; il accueille les artistes pouvant ainsi s’installer aux bords des grands arbres.
Passerelle des Arts en 2009 (photo JM)
Même s’il est de Souvenir, ce square a droit, lui aussi à son présent; visitez-le !
JM
Liens pour accéder aux articles cités
Les squares de Belfort, le sommaire : Cliquer ici
L'origine des squares à Belfort : Cliquer ici
Le square Lechten : Cliquer ici
Monument aux morts (sommaire) : Cliquer ici
Monument du Poilu (historique) : Cliquer ici
Monument du Poilu (son déplacement) : Cliquer ici
Blog des Sapeurs-pompiers de Belfort : Cliquer ici
Références : Les informations sont puisées principalement dans le dossier du square déposé aux archives municipales de Belfort (AMB), les revues municipales, le journal La Frontière, le livre Art dans la ville, le blog des pompiers, Wikipedia
Infos pratiques
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